Commentaires :

- passionnee-par-les-reves - le 06-06-08 à 22:55 Commentaire n° 1 Pas de circonstances atténuantes, ni de compasion, mais juste dire que je ressens ça un peu aussi en ce moment. Et tes mots ont réussi à décrire cette espèce de malaise. Le texte beau même si le sujet, je l'espère, ne t'inspirera pas trop longtemps. Repondre à [passionnee-par-les-reves] Commentaire n°1

- Art-Orange-2004 - le 06-06-08 à 23:29 Commentaire n° 2 Je suis dans une impatience d'amour mais je dois apprendre que le temps n'est pas forcément à ma mesure. En touchant le sublime et le rêve de ma vie certains moments sont difficiles, j'attends sans doute trop de signes pour me rassurer. Il faut réapprendre à faire confiance à soi-même et rester discret sans s'alourdir d'apesanteur pour l'être aimé. La barre est haute mais je l'aime :-) Merci de ton passage. Bonne soirée Repondre à [Art-Orange-2004] Commentaire n°2

- passionnee-par-les-reves - le 06-06-08 à 23:45 Commentaire n° 3 "Je suis dans une impatience d'amour" "La barre est haute mais je l'aime " ce genre de phrases me donne d'habitude envie de vomir. Là non. Il y a ces mots qui sont si bien asemblés, même dans un simple commentaire. Le temps non, il nous échappe quoiqu'on essaie de faire. "Il faut réapprendre à faire confiance à soi-même ", comment fait-on pour apprendre déjà? Repondre à [passionnee-par-les-reves] Commentaire n°3

- Art-Orange-2004 - le 07-06-08 à 00:24 Commentaire n° 4 Comment fait-on pour apprendre ? Tu poses une question qui me laisse sans voix, ou peut-être l'idée de ces moments où l'on ne pense plus à toutes ces choses qui nous laminent de l'intérieur. Ces fameux moments ou le naturel semble tellement ressembler à une évidence. Je crois qu'il faut se lancer finalement, de toute façon le réalisme me dit qu'on morfle un jour ou l'autre, mais avec l'expérience cela aide aussi à grandir, pas cicatriser mais grandir. Si la vie était lisse elle serait sans doute moins belle. A chacun ses expériences alors. Tes mots ne sont pas sans valeur, j'aime. Repondre à [Art-Orange-2004] Commentaire n°4